lundi 19 février 2007

Dans le bon vieux temps

Denis Lessard nous apprend dans la Presse que « Québec sortira son chéquier pour régler le différend qui perdure entre la métropole et la banlieue dans le dossier du déficit du métro. » La facture sera rien de moins que dix millions de dollars par année pour l'ensemble des contribuables québécois. Sans prétention, je crois qu'il existe une solution simple et efficace pour remédier à ce déséquilibre budgétaire. Revenons avec une campagne publicitaire aggressive, convaincante et chantante... comme dans le bon vieux temps. Adieu sous-utilisation du transport en commun, car il fait beau dans le métro. Et dans l'autobus.

Vous n'êtes pas très huppés ceux qui possèdent un cellulaire en 2007. Dans le bon vieux temps, je vous l'aurais accorder.

Je m'ennuie des entreprises familliales d'antan. Aujourd'hui, tout est dépersonnalisé et le siège social situé à l'autre bout du monde. Dans le bon vieux temps, c'était une affaire de famille. Encore mieux, dans le bon vieux temps, on pouvait crier haut et fort notre volonté d'écraser la compétition. Venez nous aider à gagner la guerre !

2 commentaires:

Max a dit...

Incroyable, je ne connaissais pas ces liens, mais tu viens d'illuminer ma journée haha ;)

Jean-Benoît Pouliot a dit...

C'était le but. haha